Banishers: Ghosts of New Eden est la nouvelle production de DON’T NOD, un studio français que l’on ne présente plus. Auparavant à l’œuvre sur des jeux purement narratifs avec Life is Strange ou Tell me Why, le développeur revient sur l’un de ses premiers amours avec de l’action-RPG. Considéré comme le successeur spirituel de Vampyr, qui était sympathique mais pas exempt de défaut, Banishers: Ghosts of New Eden nous envoie en Nouvelle Angleterre en l’an 1695, où nous incarnons deux bannisseurs spectraux, Antea et Red. Compte tenu de l’expérience du studio dans le développement de jeux narratifs profonds, axés sur les choix et leurs conséquences, le titre s’avère être un travail remarquable, malgré quelques lacunes notables.
Les notes:
+Points positifs:
La relation entre Antea et Red
L’histoire principale, riche en émotions
Le folklore du jeu
Des choix à conséquences efficaces
Les Cas de Hantise, une proposition intrigante
Un système d'amélioration et de compétences efficace.
Les quêtes secondaires, et leurs personnages développés
Le jeu qui évolue au fur et à mesure de l'aventure
Une bonne durée de vie, surtout si on veut voir les fins différentes
L'alchimie jubilatoire entre Antea et Red lors des combats
Un monde semi-ouvert touffu
Une écriture soignée avec quelques rebondissements sympathiques
Quelques dialogue assez drôle
-Points négatifs:
Le jeu met du temps à décoller
La Dualsense aurai pu être mieux utilisé
Manque de profondeur sur les autochtones et leurs cultures
Gameplay efficace, mais qui devient sans surprises au bout d’une dizaine d’heures
Ça devient vite répétitif
Les animations faciales
Synchro labiale (corrigé avec le patch)
Des lignes de dialogue très agaçantes en combat
Des conversations qui se lance pendant le tuto et qui casse apprentissage
Trop peu de variétés dans les décors
OST moins bien mit en avant que sur les autres jeux Dont’Nod
Toujours à pied et beaucoup allez retour interminable
Note d'Ambiance JV: 17/20