Tango Gameworks quitte les terres du survival-horror, et accoste sur les rives du jeu d’action-aventure avec Ghostwire Tokyo. Les studios fondés par Shinji Mikami (Resident Evil, Dino Crisis) nous invitent à découvrir la ville de Tokyo et à faire face à une mystérieuse anomalie le temps d’une épopée surnaturelle. Le titre édité par Bethesda Softworks est-il en mesure de marquer durablement les esprits ?
Les notes:
+Points positifs:
L'ambiance de la ville réussie
C'est très joli !
La direction artistique
Le côté RPG
La reproduction de Tokyo extrêmement fidèle
Les boss
Le gameplay nerveux
Les sensations à la DualSense
La VF
Les chats
Le surnaturel
Les doublages japonais/anglais et les sous-titres en français
-Points négatifs:
Le gameplay très basique
Ce sentiment de répétition
Une durée de vie assez courte (15h en ligne droite - 30h pour le 100%)
Un monde ouvert creux et à la progression vieillotte.
Des environnements urbains peu variés
Le coup des 245.000 âmes à collecter !
Note d'Ambiance JV: .14/20
Conclusion: Avec son ambiance à la fois fantastique et intrigante, et cette atmosphère nippone parfaitement retranscrite, Ghostwire : Tokyo est un titre très aguicheur, mais ce dernier se voit toutefois plombé par quelques défauts, comme une certaine répétitivité générale, un côté très rigide et un titre qui se montre un peu « creux » assez rapidement. Certes, le jeu regorge de bonnes idées, avec en prime un bel humour et quelques excellentes références, mais le concept, bien que très original, peine (un peu) à nous scotcher comme on l’aurait souhaité. Une œuvre singulière, à n’en pas douter, mais pas forcément incontournable pour autant. “Nippon ni mauvais” donc, comme disaient certains…